De nombreuses personnes se placeront sur ta route pour t’aider à mieux avancer. Entoure-toi de celles qui veulent ton bien. 

Durant le passage de l’adolescence, il est possible de ressentir de nouvelles émotions, comme de l’anxiété, de la solitude ou de la tristesse. Même si toutes ces émotions sont normales, ça se pourrait que tu sois portée à demander de l’aide (ce qui est très bien!). 

Si tu as besoin d’aide pour avancer, assure-toi de consulter une personne de confiance et compétente. Car, il n’y a aucune graine de chia, aucun jus magique et aucune académie privée qui te permettront de te sentir mieux dans ton corps et dans ta tête. 

Tu peux choisir de te tourner vers ton médecin de famille, la psychologue ou l’infirmière de ton école, mais aussi vers un organisme comme Tel-Jeune et ANEB Québec. 

Si tu doutes de la fiabilité d’une source, écris-nous en privé, nous t’aiderons à y voir plus clair. 

Les résolutions, c’est bien, mais les objectifs, c’est encore mieux!

Les chiffres parlent d’eux-mêmes :

• 22% des gens échouent après 1 semaine
• 50% des gens laissent tomber après 3 mois
• 90% reviennent au point de départ à plus long terme

Maintenant que tu sais ça, découvre les trucs et astuces de notre psychologue Stéphanie Léonard pour atteindre tes plus grands rêves!

1. Tu dois changer ton vocabulaire. À partir de maintenant, ce n’est plus une résolution, mais un objectif.

2. Si tu veux réellement l’atteindre, ton objectif doit avoir un sens pour toi, mais surtout pour ton bien-être mental. 

3. T’es toujours mieux de ne pas avoir un trop gros but. T’es mieux de diviser un grand objectif en plusieurs petits objectifs réalisables.

4. Tu dois besoin d’être souple. Et pas besoin de faire du yoga pour être souple, juste de t’écouter et de t’ajuster au fur et à mesure. 

5. Tu dois être persévérant(e). Ça prend de 6 à 7 tentatives avant de changer une habitude de vie.

Le bien-être, c’est de se choisir, toujours un peu plus tous les jours. Si le temps des fêtes est la période idéale pour s’offrir un cadeau de soi à soi, il y existe aussi d’innombrables occasions de le faire!

1. Accepter un compliment!
La prochaine fois que quelqu’un t’offrira un compliment, accepte-le, pleinement. Pour une fois, essaie de ne pas te justifier, de lui relancer un compliment à ton tour ou de lui répondre qu’il a tort. Dis tout simplement : «merci»!

2. Ne pas t’excuser d’être en retard. 
Nous avons tous une vie qui file à cent mille à l’heure. Même si c’est un événement important, tu as le droit de t’écouter, d’y aller à ton rythme, et ce, même si ça implique d’arriver quelques minutes en retard. 

3. Dire non même si l’occasion semble parfaite. 
Il y aura toujours une bonne raison pour sortir de chez toi. Tu n’es pas obligé de t’imposer ce rythme effréné. Et, les occasions se représenteront aussi vites qu’elles auront disparu!

4. Choisir une résolution pour ton bien-être mental.
Peu importe la résolution que tu choisis de prendre, assure-toi qu’elle est en harmonie avec ta santé et ton bien-être mental… le reste suivra!

5. Être moins présent sur les réseaux sociaux. 
Accorde-toi une pause des réseaux sociaux durant une soirée ou prends la décision consciente de diminuer ton temps d’écran pendant une journée. 

6. Choisis à qui tu vas parler. 
Certaines personnes, dans ton cercle d’amis ou dans tes réunions familiales, peuvent être un facteur de stress. Rien ni personne ne t’oblige à engager une conversation avec elles. Tu peux faire le choix de passer la soirée avec les personnes qui te font sentir bien. 

7. Pardonner. 
Même si l’action de pardonner n’est pas facile à réaliser, elle peut être très libératrice. Fais-le d’abord et avant tout pour toi!

Les troubles alimentaires ne prennent pas de pause, ni de congé. Peu importe le moment de l’année, leur présence est omniprésente. S’ils peuvent être lourds à porter tout au long de l’année pour ceux qui en souffrent, ils le sont d’autant plus aux rassemblements familiaux et amicaux.

Si vous avez une personne dans votre entourage qui souffre de trouble alimentaire, votre présence sera toujours indispensable à sa réhabilitation. Même si parfois, vous ne savez pas sur quel pied danser, votre meilleur allié sera toujours l’ouverture et la compassion.

Voici cinq textos que vous pourriez envoyer à une personne qui souffre lorsque vous savez qu’elle en aura besoin.

Les garçons aussi vivent des déceptions, traversent des tempêtes et expérimentent des émotions. Il est impératif de changer le discours social pour les encourager, eux aussi, à être eux-mêmes!

Comment pourrait-on changer la façon dont nous  interagissons avec les gars? Voici 4 exemples!

1. Plutôt que de dire « C’est juste une passe », on pourrait dire « viens t’en, on va jaser de ce qui te tourmente ».

2. Plutôt que de dire « t’es bizarre ou t’es pas comme d’habitude », il serait bien de l’encourager à nommer ce qu’il vit.

3. Plutôt que d’invalider ses émotions, il faudrait simplement lui dire « je suis là pour toi, si tu as besoin ».

4. Plutôt que de l’encourager à se changer les idées, ça peut être bien de prendre de ses nouvelles aujourd’hui.