La génétique avec Kevin Raphael

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On en jase...

La génétique avec Kevin Raphael

Près de 30% du poids et de la silhouette sont déterminés par la génétique, selon Simone Lemieux, Dt.P., Ph.D.Professeure École de nutrition, Chercheuse Centre NUTRISS, INAF.

Le métabolisme de base, qui consiste à faire fonctionner les organes internes, même au repos, diffère d’une personne à l’autre. Certaines personnes vont avoir un métabolisme plus lent, c’est-à-dire qu’ils auront besoin de moins d’énergie provenant des aliments pour le faire fonctionner. Ainsi, ils auront une moins grande dépense énergétique. Au lieu d’être brûlés, les surplus d’aliments seront emmagasinés.

Le fait de chercher à amaigrir ton corps, par un régime, est une atteinte à son intégrité. Face à cette menace, ton corps va développer des mécanismes de défense. Son premier réflexe sera de ralentir ton métabolisme de base pour économiser de l’énergie. Et, un métabolisme de base lent a tendance à emmagasiner tous les surplus d’aliments dont il n’a pas besoin. C’est le début du cercle vicieux des régimes!

Maintenant que tu sais que le métabolisme de base, hautement déterminé par la génétique, joue un grand rôle sur le poids que tu as, tu comprends pourquoi tout le monde n’a pas le potentiel d’être mince. Le culte de la minceur, ç’a été créé par notre société occidentale. Mais, depuis que le monde est monde, il y a toujours eu différents types, formes et grosseurs de corps. Et c’est correct !

Tous les propos rapportés sont tirés de l’entretien qu’a eu Dre Stéphanie Léonard avec Simone Lemieux, Dt.P., Ph.D.Professeure École de nutrition, Chercheuse Centre NUTRISS, INAF, lors de l’enregistrement du podcast BienAvecMonCorps sur l’épisode «la génétique». Pour écouter le podcast, c’est ici!

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La peur d’être gros(sse) avec Joanie Pietracupa

La peur d’être gros(sse) avec Joanie Pietracupa

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La peur d’être gros(sse) avec Joanie Pietracupa

Le poids de la grossophobie ne se mesure pas uniquement sur la balance, mais aussi dans les commentaires désobligeants et les préjugés injustifiés. Pourquoi (presque) tout le monde a peur d’être gros?

Très jeune, la société nous a appris à être grossophobes, c’est-à-dire à avoir peur des gros ou à avoir peur d’être gros soi-même. Elle nous a appris à hiérarchiser une personne, d’un seul coup d’oeil, selon son apparence physique. 

Dans le cas de la grossophobie, les préjugés vont au-delà de l’apparence physique. En effet, les personnes grosses sont aussi associées à des qualités morales négatives, comme la paresse, la gloutonnerie, la mauvaise hygiène et la mauvaise hygiène.

Le body size d’une personne n’est (souvent) pas une question de choix. Les études ont démontré à maintes reprises que le poids était grandement déterminé par la génétique et que le poids ne déterminait pas nécessairement la longévité ou la santé d’une personne. 

En tant qu’individu, il faut prendre conscience des biais négatifs qu’on a acquis, depuis la petite enfance. Il faut s’informer davantage, s’ouvrir davantage et s’aimer tel qu’on est davantage.

Tous les propos rapportés sont tirés de l’entretien qu’a eu Dre Stéphanie Léonard avec Gabrielle Lisa Collard, autrice et journaliste, lors de l’enregistrement du podcast BienAvecMonCorps sur l’épisode «la grossophobie». Pour écouter le podcast, c’est ici!

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Les pièges des diètes avec Ariane Moffatt

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Les pièges des diètes avec Ariane Moffatt

Comment fait-on pour ne pas se faire prendre par de l’emprise des diètes? On a posé la question au nutritionniste Bernard Lavallée et voici les pièges à éviter. 

1. Quand on te promet que ça va être facile, rapide et sans souffrance. Quand c’est trop beau pour être vrai, tu ne devrais pas te lancer.

2. Quand on te dit qu’il y a des règles à suivre. Les règles alimentaires, ça n’existe pas. Ça a été inventé par l’humain.

3. Quand on te dit que c’est mal de transgresser les règles. Personne ne devrait se sentir mauvais, coupable ou inférieur parce qu’il transgresse une « règle alimentaire ».

4. Quand tu es accepté et supporté par une communauté, mais sous certaines conditions. Les gens qui t’aiment pour vrai ne te demanderont jamais de suivre certaines règles pour te supporter au quotidien.

5. Quand tu dois te soumettre à des rituels. Les diètes sont toutes pareilles, elles te diront toujours quoi, quand et comment manger.

Tant que ta relation avec toi-même ne sera pas harmonieuse, il y aura toujours une personne, un programme ou une formule qui trouvera les bons mots pour te faire croire que tu as besoin de suivre une diète et te faire croire que, cette fois-ci, ce sera la bonne!

Il n’y a pas de formule magique pour se libérer de l’emprise des diètes, tu dois rétablir la relation que tu entretiens avec ton corps. Et ça, ça se fait avec l’aide d’un professionnel de la santé.

Tous les propos rapportés sont tirés de l’entretien qu’a eu Dre Stéphanie Léonard avec le nutritionniste Bernard Lavallée, alias le Nutritionniste urbain, lors de l’enregistrement du podcast BienAvecMonCorps sur l’épisode «les diètes». Pour écouter le podcast c’est ici!

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Le stress «physique» avec Béatrice Martin

Le stress «physique» avec Béatrice Martin

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Le stress «physique» avec Béatrice Martin

Le fait de chercher à correspondre aux standards de beauté, à accorder une trop grande importance à l’apparence physique et à se concentrer sur ce qu’on n’aime pas de notre corps peut générer du stress.  

L’autocompassion est un art qu’il faut apprendre à cultiver. Dans un monde idéal, on ferait tous preuve d’autocompassion, c’est-à-dire qu’on apprendrait à s’aimer au-delà de nos imperfections et malgré nos défauts. Mais, on est aussi conscient que cet idéal est difficile à atteindre pour la plupart. 

Même son de cloche pour la bienveillance. Même si tu n’es pas en amour et en admiration avec ton corps tous les jours, essaie de ne jamais le dénigrer et de ne jamais lui manquer de respect. Parce que les mots que tu utilises pour parler de ton corps peuvent, eux aussi, générer un stress physique et mental.

L’humour, est-elle la solution? Les standards de beauté (souvent inatteignables) qu’on nous propose peuvent être une véritable source de stress. Pour s’en libérer, il faut prendre une distance. L’autodérision permet non seulement de prendre une distance de son corps, mais elle permet aussi de se libérer du stress qui vient avec.

Tous les propos rapportés sont tirés de l’entretien qu’a eu Dre Stéphanie Léonard avec Johana Monthuy-Blanc, Professeure au département Sciences de l’éducation, Université du Québec à Trois-Rivières, responsable de l’unité de recherche Loricorps et chercheure régulière du Centre de recherche de l’Institut universitaire en santé mentale de Montréal, lors de l’enregistrement du podcast BienAvecMonCorps sur l’épisode «le stress». Écoutez le podcast ici!

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Redéfinir l’amour avec Debbie Lynch White

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Redéfinir l’amour avec Debbie Lynch White

La pression sociale d’être en couple existe depuis la nuit des temps, mais pourquoi?

Depuis toujours, la société valorise la relation de couple, qui s’impose comme évidence. Si la société accepte qu’on puisse avoir une période d’exploration, à l’adolescente, elle s’attend à ce qu’on se stabilise, à mesure qu’on vieillit. Cela implique d’avoir une maison, des enfants et un chien saucisse.

À une certaine époque, le couple était valorisé parce qu’il assurait la stabilité économique. Aujourd’hui, l’individu s’est émancipé. Il peut répondre à ses besoins et survivre, sans l’aide de personne.

Devant ce constat, plusieurs personnes commencent à remettre en question le couple, tel qu’on le connaît, ou choisissent d’être célibataire. De plus en plus, on remarque que les modèles de couple évoluent. 

Chaque individu est un acteur de changement social. À partir de ta créativité, tu peux repenser la manière dont tu souhaites vivre tes expériences amoureuses, affectives et sexuelles, mais aussi la manière dont tu souhaites vivre ton célibat. Tu n’as pas à te justifier de tes choix.

Tous les propos rapportés sont tirés de l’entretien qu’a eu Dre Stéphanie Léonard avec Carl Rodrigue, candidat au doctorat à l’Université St-Jerome, lors de l’enregistrement du podcast BienAvecMonCorps sur l’épisode «des relations amoureuses». Pour écouter l’épisode, c’est ici!

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