10 compliments qui n’ont pas de lien avec le physique

10 compliments qui n’ont pas de lien avec le physique

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10 compliments qui n’ont pas de lien avec le physique

À l’approche des fêtes, on sera amené à voir beaucoup de gens qu’on affectionne. Plutôt que de se faire des compliments sur notre physique, pourquoi on ne s’offrirait pas de VRAIS compliments? 

Voici 10 compliments qui n’ont pas de lien avec le physique d’une personne : 

  1. J’ai vu ce que as fait dernièrement, c’est inspirant de te voir aller.
  2. Ça fait toute la différence quand tu entres dans une pièce.
  3. Ça fait du bien de jaser avec quelqu’un ouvert d’esprit comme toi.
  4. Ton sens de l’organisation m’impressionne chaque fois.
  5. J’apprécie ta générosité. Sans toi, la soirée n’aurait pas eu lieu.
  6. J’admire la façon dont tu mets tes limites et tu t’écoutes.
  7. Tu as fait beaucoup de progrès depuis l’an dernier.
  8. Ta patience est une vraie source d’inspiration pour moi.
  9. J’ai tellement plus de plaisir quand tu es là.
  10. Tu me pousses à être une meilleure version de moi-même.

 

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Voici pourquoi tu ne devrais jamais porter des vêtements trop serrés

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Voici pourquoi tu ne devrais jamais porter des vêtements trop serrés

Être bien dans son corps, ça commence par être bien dans ses vêtements! Exit, les vêtements trop serrés. 

Le fait de porter des pantalons, un soutien-gorge, une ceinture et des chaussures trop serrés n’est pas seulement inconfortable. Cette habitude peut nuire à ta santé physique et mentale. 

Quels sont les effets d’un vêtement trop serré sur ta santé physique? 

1. Ballonnements
2. Infection urinaire
3. Affections cutanées
4. Problèmes de digestion
5. Circulation sanguine ralentie

Le fait de porter des vêtements trop serrés peut aussi affecter ta santé mentale. Tu peux être amené à perdre graduellement confiance en toi et tu peux aussi renforcer ton besoin de contrôle.

Garde ceci en tête : si la grandeur de tes vêtements est inadéquate, tu auras toujours l’impression que ton corps est inadéquat, et ce, peu importe ton poids!

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Tout savoir sur l’anorexie atypique

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Tout savoir sur l’anorexie atypique

Les préjugés, ils sont partout! Même les personnes qui souffrent de troubles alimentaires peuvent être victimes de préjugés ou de stigmatisation. Voici tout ce que tu dois savoir sur l’anorexie atypique. 

Les obsessions, la restriction alimentaire, la distorsion corporelle et la préoccupation extrême par rapport au poids n’ont pas de silhouette. Les troubles alimentaires peuvent prendre toutes les formes.

Il est faux de croire que les personnes souffrant d’anorexie sont minces, par exemple.

On parle d’anorexie atypique lorsqu’une personne présente toutes les caractéristiques de l’anorexie, comme une restriction de l’apport énergétique, une peur intense de prendre du poids, une perturbation de l’expérience du poids ou de la forme corporelle.

Cette personne sera amenée à perdre une quantité importante de poids, mais celui-ci restera au-dessus de ce qui est considéré «normal» aux yeux de la société.

Et, l’anorexie atypique est un trouble alimentaire plus répandu que tu ne le crois! On estime que 4,9 % des filles, 1,2% des gars et 7,5% des personnes dites binaires en souffriront, à un moment ou à un autre dans leur vie.

S’il est aussi important d’en parler c’est qu’une étude a aussi prouvé que les personnes qui souffrent d’anorexie atypique présentent un désordre alimentaire ainsi qu’une détresse psychologique plus importante.

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L’identité de genre, c’est quoi?

L’identité de genre, c’est quoi?

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L’identité de genre, c’est quoi?

Dans les médias, à la maison et à l’école, on parle de plus en plus de l’identité de genre (forte heureusement!). Pour tout comprendre de cette expérience, on t’a préparé un petit guide. 

Qu’est-ce que l’identité de genre? 

Par définition, l’identité de genre est l’expérience intérieure et personnelle que chaque personne a de son genre. Il s’agit du sentiment d’être une femme, un homme, les deux, ni l’un ni l’autre, ou d’être à un autre point dans le continuum des genres. L’identité de genre d’une personne peut correspondre ou non au genre généralement associé au sexe qui lui a été assigné à la naissance. *

L’identité de genre d’une personne peut-elle changer au cours de sa vie? 

L’identité de genre est innée et formée très jeune. Elle n’est pas influencée par l’éducation reçue. Pour cette raison, il est important d’éduquer les filles et les garçons de la même façon pour qu’ils puissent s’exprimer comme ils le sentent, car un jeune qui ne répond pas aux stéréotypes sexuels peu se sentir exclu et subir de la discrimination.

Il est aussi normal qu’un enfant ait des comportements traditionnellement attribués au sexe opposé – mais ce n’est aucunement relié au genre. Un jeune qui ne répond pas aux stéréotypes sexuels peu se sentir exclu et subir de la discrimination.

Quels conseils Dre Stéphanie donne-t-elle aux parents? 

1. Offrir une éducation sans stéréotype sexuel.
2. Évaluer ses propres idées préconçues.
3. Laisser notre enfant libre d’explorer et de s’exprimer. Le.la voir pour qui il.elle est sans le.la mettre dans une case.
4. Rester ouvert d’esprit.
5. S’éduquer soi-même et éduquer les gens autour de nous.

* Référence : gouvernement du Canada

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Les 7 questions les plus fréquentes concernant la psychothérapie

Les 7 questions les plus fréquentes concernant la psychothérapie

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Les 7 questions les plus fréquentes concernant la psychothérapie

Commencer une thérapie avec un ou une psychologue, ce n’est pas banal! C’est normal de douter, de se poser des questions et même, d’avoir des préjugés. On a demandé à notre psychologue Dre Stéphanie Léonard de répondre aux questions que se posent le plus souvent les gens avant de commencer une psychothérapie. 

Dre Stéphanie Léonard est spécialisée dans le traitement des troubles de l’alimentation, des comportements alimentaires et de l’image corporelle. C’est aussi elle qui a fondé notre organisme.

Les choses à savoir avant de débuter une thérapie avec un psy :

 

Comment puis-je savoir si je dois consulter un psy?

On peut décider de consulter un psy à n’importe quel moment. Par exemple, parce qu’on veut se comprendre davantage, faire le point sur certains aspects de notre vie, améliorer nos relations interpersonnelles, etc. Il faut surtout consulter un psy lorsqu’on sent qu’on est malheureux, qu’on souffre et qu’on ne fonctionne pas comme avant. Souvent c’est lorsqu’on réalise qu’on est allé au bout de nos propres ressources et des outils à notre portée et qu’on ne se sent pas mieux. Aller consulter un psy c’est aller chercher de la compréhension et des outils. C’est avoir un endroit « sécuritaire », bienveillant et sans jugement pour se permettre de travailler ses enjeux, troubles, fragilités et vulnérabilités.

Tous les psychologues ont une formation générale et plusieurs psychologues ont une spécialité. Il existe aussi diverses approches en psychologie. La meilleure chose et de s’informer avant d’entreprendre une démarche pour déterminer la formule adaptée à nos besoins. Site de l’Ordre des Psychologues du Québec à consulter : www.ordrepsy.qc.ca.

 

Est-ce normal d’avoir des peurs ou des préjugés? 

Oui! La plupart du temps, les gens ont peur du jugement ou ils ont peur de sentir très vulnérable vis-à-vis leur psy. Les plus appréhensions les plus fréquentes sont celles qu’un psy ne fait qu’écouter et faire des reflets. Certaines personnes pensent aussi qu’on peut devenir dépendant de son psy.

 

Comment ça se déroule un rendez-vous chez un psy? 

Habituellement, les premières rencontres consistent en l’évaluation. C’est à l’aide de l’information que le psy va récolter lors de l’évaluation qu’il va pourvoir poser un diagnostic (si c’est le cas) et déterminer un plan d’intervention en fonction des difficultés et des attentes du patient. Suite à l’évaluation, l’intervention débute. Les rencontres sont habituellement de 50 minutes.

 

Que dois-je faire si j’ai l’impression que je n’évolue pas?

Il est important que ça « clique » avec notre psy. Au-delà des compétences, chaque psy a sa personnalité et sa façon d’interagir. Il se peut donc que le « bon » psy pour nous ne soit pas le premier que l’on contacte. Une bonne façon de sonder le terrain est de commencer par un court appel téléphonique. Cela nous donne l’occasion de déjà voir comment on se sent.

Si on a l’impression qu’on n’évolue pas il faut absolument le nommer à son psy pour mieux comprendre ce qui se passe.

 

Comment puis-je savoir qu’il est venu le moment d’arrêter ma psychothérapie? 

Habituellement, lorsqu’un patient va mieux, on espace graduellement les rencontres. Cela nous permet d’évaluer où est rendu le patient et, surtout, de discuter ouvertement de comment le psy et le patient voient la fin de thérapie.

 

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