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PAR ARIANE BEAUDRY
L’importance de la diversité corporelle, ça s’apprend dès notre plus jeune âge… mais les ressources pour expliquer ce concept aux enfants sont malheureusement limitées. C’est pourquoi Katie Crenshaw et Ady Meschke, deux mères d’Atlanta, ont décidé d’écrire un livre dont le personnage principal est une petite fille taille plus. Her Body Can est une célébration de l’amour de soi et des corps de toutes tailles, de toutes couleurs et de toutes formes.
Les co-auteures ont misé sur une narration simple et des illustrations colorées pour transmettre ce message aux enfants de 8 ans et moins.
“We wanted to represent underrepresented children in a way that promotes inclusiveness, self-love and love for all of those around us no matter who they are or what they look like. The idea is all about encouraging littles to do whatever it is they love in life regardless of what society might one day tell them they can or cannot do based on what they look like.”
« Nous voulions représenter les enfants sous-représentés d’une manière favorisant l’inclusivité, l’amour-propre et l’amour de ceux qui nous entourent, quels qu’ils soient ou à quoi ils ressemblent. L’idée est d’encourager les petits à faire ce qu’ils aiment dans la vie, peu importe ce que la société pourrait leur dire sur ce qu’ils peuvent ou ne peuvent pas faire selon leur apparence. »
Le livre connaît un immense succès depuis son lancement à la mi-février: en une semaine, il s’est retrouvé à la tête des meilleurs vendeurs sur Amazon. Le duo ne s’arrêtera toutefois pas là ! Le lancement d’un second opus, His Body Can, est prévu d’ici la fin de l’année, et d’autres histoires abordant les différences entre les genres, les handicaps et d’autres sujets en lien avec la diversité sont également à venir.
On espère lire une version francophone prochainement, et on souhaite voir des auteurs québécois suivre cette magnifique initiative!
Tu peux te procurer le livre Her Body Can juste ici.
PAR LA GANG DE BAMC
La pandémie nous inquiète tous, et parfois, les conséquences se font sentir sur le sommeil. Voici quelques trucs pour être mieux reposé-e au petit matin afin d’attaquer la journée en force.
Méditer avec une appli
Insigh Timer (disponible sur Android et IOS) regroupe une panoplie de méditations guidées par des sommités mondiales comme des neuroscientifiques, des psychologues, des enseignants d’universités prestigieuses, etc. Tu y trouveras une séance à ton niveau, que tu aies déjà de l’expérience avec la méditation ou que tu la pratiques régulièrement. Tu peux aussi y trouver de la musique pour mieux dormir, t’aider à te concentrer ou calmer ton esprit.
Se détendre avec le silence
Cette initiative née en France t’aide à calmer tes pensées en expérimentant avec le silence. Tu y trouveras des balados, des « massages sonores » et une tonne d’autres trucs et outils pour relaxer et faciliter le sommeil.
Vider son esprit avec un journal de bord
Tu es allongé-e confortablement, mais tu ne peux t’arrêter d’énumérer toutes les tâches qui t’attendent demain matin ou d’imaginer les pires scénarios qui pourraient arriver? Prends le temps de mettre tes pensées sur papier avant d’aller au lit. Une fois qu’elles seront sorties de ta tête, il sera bien plus facile de te détendre. Et pour éviter les lumières bleues de ton téléphone qui risquent d’exciter ton cerveau, opte pour un joli carnet de notes.
Créer un rituel avec des huiles essentielles
La lavande et la camomille sont reconnues pour leur effet apaisant, ce qui en fait les parfaites alliées pour induire le sommeil. Vaporise tes draps et ton oreiller avant de te coucher, et après quelques jours, ton cerveau reconnaîtra cette odeur comme un signe qu’il est temps de s’endormir!
«Éteindre» son cerveau avec un masque pour les yeux
Quand ton œil détecte de la lumière, ton cerveau sécrète de la mélatonine, une hormone qui enclenche la phase de sommeil. Et lorsque le soleil se pointe à l’horizon (ou que quelqu’un allume la lumière), la synthèse de cette hormone cesse. Si tu as du mal à dormir, un masque en tissu doux peut te donner un coup de main en faisant régner l’obscurité.
PAR LA GANG DE BAMC
Tu ne peux peut-être pas sortir de la maison… mais ça ne t’empêche pas de voyager, sans même dépenser tes sous ! Voici quelques « sorties » cool à faire directement de chez toi.
L’une des plus populaires attractions d’Irlande, ce château a été construit il y a près de 600 ans. Promène-toi dans les jardins qui renferment une collection de plantes vénéneuses en provenance de partout à travers le monde. Certaines sont si dangereuses qu’elles doivent être conservées dans des cages de verre ! Sans oublier le Rock Close, un endroit en pleine nature aux abords d’une rivière qui abritait jadis un autel pour les sacrifices, un cercle de druides et une mystérieuse grotte d’ermite. On y trouve encore des ponts rustiques et un passage de marches qui exaucent les vœux des amoureux.
Curieux·se de voir comment les loutres de mer, les pingouins et les jellyfish vivent le confinement ? L’aquarium situé en Californie te laisse découvrir la vie aquatique de ses locataires grâce à 10 caméras en direct accessibles de partout à travers le monde.
Cet ensemble de falaises s’étend sur huit kilomètres et à 214 m au-dessus du niveau de la mer dans le comté de Clare, en Irlande. Si le paysage grandiose (le plus visité du pays) te dit quelque chose, c’est parce que ce site naturel est en quelque sorte une star du cinéma; tu l’as sans doute aperçu dans le sixième volet de la saga Harry Potter (Harry Potter et le Prince de sang-mêlé), Astérie et Obélix : Au service de Sa Majesté, et pour les plus vieux, La Princesse Bouton d’Or.
Le Musée national d’histoire naturelle Smithsonian
Pour voir des squelettes de dinosaures, de créatures océaniques, de primates et même de nos ancêtres humains, c’est par ici! Le musée situé à Washington offre une visite à 360 degrés de ses différentes salles d’exposition.
Grâce au projet Arts & Culture de Google, tu peux désormais visiter plusieurs parcs nationaux tout en respectant ta quarantaine. L’exposition numérique intitulée « Les mondes cachés des parcs nationaux » te propose cinq endroits féériques en nature : des volcans à Hawaï, des cavernes au Nouveau-Mexique, un canyon au Utah, des glaciers en Alaska et un archipel en Floride. Branche tes écouteurs et découvre des crevasses secrètes, l’intérieur de volcans bouillants, la vie souterraine et bien d’autres surprises !
Avec plus de 10 millions de visiteurs chaque année, le Louvre est le musée le plus fréquenté du monde. En attendant de pouvoir y remettre les pieds, tu peux faire la visite virtuelle de quatre de ses salles : Figure d’artiste, Antiquités égyptiennes, Louvre médiéval et Galerie d’Apollon.
PAR LA GANG DE BAMC
On mène des vies de fou, une chose n’attend pas l’autre… et soudainement, on se retrouve coincé entre quatre murs pendant la quarantaine. La période d’adaptation peut être difficile à vivre, mais la situation actuelle représente une occasion en or d’apprendre à prendre soin de soi!
Avec le train-train quotidien, on n’arrive pas toujours à justifier de prendre une pause. Même qu’on se sent coupable de s’arrêter pour souffler, alors qu’on le fait constamment pour les autres. Ce qu’on ne réalise pas, c’est que le self-care est important… pour nous, mais aussi pour ceux qui nous entourent. Pense aux directives en cas d’urgence que l’équipage rappelle avant de décoller : tu dois mettre ton masque à oxygène en premier avant d’aider la personne à tes côtés. Tu ne seras d’aucune aide si tu perds conscience!
Comment s’y prendre
Le self-care, ça englobe beaucoup de choses : de saines habitudes de vie, s’affirmer même quand ça ne plaît pas à tous, mettre ses limites, se faire plaisir, s’aimer comme on est, être bienveillant envers soi-même (se traiter comme on traiterait son meilleur ami)… On est tous différents, et donc, la « bonne » formule n’est pas la même pour tout le monde. Il faut évaluer nos besoins pour trouver ce qui fait du sens. Qu’est-ce qui nous fait du bien dans la vie? Pour certaines personnes, ce sera de s’arrêter, mais pour d’autres, ce sera de bouger! On peut s’adonner à une activité agréable qu’on repousse par manque de temps, appeler des amis qui nous manquent ou tout simplement s’offrir un peu de tranquillité.
On s’y met!
Comme on est tous confinés à la maison en ce moment, c’est le parfait moment pour faire une place au self-care! On t’a préparé trois trucs pratiques pour t’aider :
1) Avant d’aller dormir, prends le temps de noter trois moments agréables qui sont arrivés dans ta journée. Ce peut être une interaction agréable avec un collègue ou un camarade de classe sur Facetime, un fou rire avec les membres de ta famille, un défi personnel que tu as relevé avec fierté, etc.
2) Renoue avec une activité que tu as toujours aimée, mais que tu as laissée de côté par manque de temps : un casse-tête, la peinture à numéro, des jeux de société… Le coloriage est super tendance en ce moment! Ça peut être quelques minutes à la fois seulement, mais engage-toi à l’intégrer dans ta routine quotidienne. Le fait d’occuper ton esprit à une activité agréable te permettra de déconnecter du stress auquel tu es soumis durant le confinement.
3) Pratique la pleine conscience en étant plus réceptif à ce qui t’entoure : savoure ce que tu manges, écoute les cris des oiseaux quand tu prends ta marche quotidienne, apprécie la douceur d’une couverture bien moelleuse sur ta peau, etc.
«J’ai été surprise de ma réaction… l’expérience m’a permis de faire un peu le point et réaliser que je m’apprécie plus que ce que j’ai toujours cru.» On te montre ce qui a mené Gemma à cette conclusion!
Merci à Julie Artacho pour sa précieuse participation et de nous avoir reçus dans son studio. Crédit musique: un énorme merci à Ariane Moffatt
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«Ça peut être bien utilisé pour faire des mini retouches, mais des fois ça n’est complètement plus naturel, comme dans les magazines et sur Instagram.» Voici comment s’est déroulée l’expérience Photoshop d’Alexia!
Merci à Julie Artacho pour sa précieuse participation et de nous avoir reçus dans son studio. Crédit musique: un énorme merci à Ariane Moffatt
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«C’est vraiment facile de modifier quelqu’un. J’ai pu voir comment ça se passe pour que ça arrive d’une image d’une vraie personne à quasiment parfois des extra-terrestres.» Découvre ce processus trompeur à travers les yeux de Julianne!
Merci à Julie Artacho pour sa précieuse participation et de nous avoir reçus dans son studio. Crédit musique: un énorme merci à Ariane Moffatt
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«On dirait qu’il n’y avait vraiment pas de limites à ce qu’elle était capable de faire… j’ai trouvé ça vraiment très impressionnant.» Est-ce qu’Audrey est pour ou contre les retouches Photoshop? À découvrir dans la vidéo!
Merci à Julie Artacho pour sa précieuse participation et de nous avoir reçus dans son studio. Crédit musique: un énorme merci à Ariane Moffatt
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PAR ARIANE BEAUDRY
La diversité jusqu’aux aisselles, est-ce possible? Dove croit que oui! Reconnue pour ses campagnes inspirantes des dernières années, la célèbre compagnie de soins de la peau lance #ArmsUp, une campagne visant à redonner un peu d’amour à toutes les aisselles.
Pour l’occasion, Dove a demandé à 13 femmes de partager leur histoire afin de démontrer que les aisselles n’ont pas à être lisses et dépourvues de poils pour être considérées comme belles. Parmi celles-ci, on retrouve l’extraordinaire Megan Jayne Crabbe, mieux connue sous le pseudonyme @Bodyposipanda, l’actrice, mannequin et activiste Jari Jones et Natalie, une créatrice de contenu atteinte de vitiligo.
“I would love for the ideal underarm to just not exist.”
«J’aimerais que l’aisselle parfaite n’existe tout simplement pas.»
– Megan Jayne Crabbe, Bodyposipanda
Parallèlement à cette campagne, Dove a créé le sondage The Underarm Confidence afin de mieux comprendre le phénomène. Celui-ci a révélé que six femmes sur 10 ont déjà eu l’impression d’être jugées par rapport à l’apparence de leurs aisselles, et que 88% des femmes ressentent la pression d’afficher des aisselles «idéales», c’est-à-dire lisses et sans imperfections. Hé oui, un autre standard de beauté qui nous préoccupe!
Les 13 femmes mises en lumière dans la campagne #ArmsUp nous en apprennent plus sur leurs choix personnels. On y découvre avec bonheur des aisselles lisses, velues, ornées de poils violets, de tatouages et de cicatrices, qui sont parfois exposées, parfois dissimulées. La conclusion? Une aisselle ne vaut pas plus qu’une autre. Ça, c’est une bonne raison de lever les bras en l’air!
«Je pense que c’est bien pour faire des montages photo et modifier quelqu’un, mais pas quand c’est exagéré.» On te montre la réaction de Thomas face à son image retouchée!
Merci à Julie Artacho pour sa précieuse participation et de nous avoir reçus dans son studio. Crédit musique: un énorme merci à Ariane Moffatt
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